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Les télécommunications sont l’une des plus grandes actualités du développement technologique, avec des monopoles très lourds de quelque firmes dans le monde. Ce métier reste très accaparé par les aspects de marketing, un peu comme en pharmacie.
L’université LAVAL indique que « Les télécommunications couvrent l'ensemble des procédés de transmission d'informations (voix, données ou images) par le rayonnement électromagnétique. Radio, téléphone et télévision en font partie. C'est une des technologies clés de la seconde moitié du XXe siècle .. Les télécommunications sont complémentaires de l'informatique : ces deux domaines, qui relèvent de la filière électronique, ont en commun la numérisation de leurs techniques. Elles ont une appartenance double : l'informatique les aborde davantage sous les aspects du protocole, de l'algorithme et de l'interface, le génie privilégiant ceux du design et de l'équipement. »
Selon l’université de Sherbrooke, les ingénieurs en télécommunication « effectuent et dirigent des recherches en matière de faisabilité, de conception, d'exploitation et de performance des systèmes électroniques de communication qui sont utilisés pour la transmission des sons, des données numériques et des images à travers des câbles de cuivre, des fibres optiques et des satellites. Les ingénieurs en télécommunication peuvent également élaborer des logiciels spécifiques et faire l'estimation des coûts ».
L’université de Bab Ezzouar indique que « cette formation vise à répondre à un besoin en personnels qualifiés admettant un double profil d’Electronique et d’Informatique capables de prendre en charge en même temps des tâches liées aux réseaux et/ou aux Télécommunications et s’inscrit dans la tendance vers la convergence. »
Les nouvelles ressources couvrent les 6 cours de licence et 3 cours de magister cours suivants :
o 1 cours de réseau sur le codage et des éléments de théorie de l'information :
o 4 cours de télécommunications et réseaux ;
o 2 cours de télématique ;
o 1 cours de sécurité des réseau et d’infrastructure et protocole ;
o Un cours de réseau sans fil
En veille technologique, deux documents d’ingénierie des télécommunications sont présentés dont une Carte routière technologique du sans fil au Canada pour les années 2006 à 2016.
A l’instar des documents du même type existant pour d’autres secteurs, ce travail collectif de plusieurs composantes de la société canadienne sont d’une qualité prospective exceptionnelle, en plus d’être de diffusion publique.
Toutes ces ressources sont accessibles en cliquant sur Etudes supérieures, Licence ou Master des télécommunications et réseaux pour les cours
et sur Veille technologique pour les documents sur l'ingéniérie des télécommunications
images/Etudes_superieures/Licence_et_master_telecommunication/Reseau_des_telecommunications_master/Cours_florent/2_Fr_CNAM_Cours_Reseau_et_Telecom.pdf |
Comment donner un contenu concret à la création de richesse en misant tout sur elle et d'abord arrêter la fuite éperdue de cerveaux hors de leur patrie ? Comment réhabiliter le patriotisme économique et le mettre au cœur de l’effort de développement sans que cela ne paraissent ringard ou démagogique ?
Mise en ligne de l'’interview sur la chaine 3 de la radio algérienne de Monsieur Hafid AOURAG, Directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique au Ministère de l’enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique. Les réponses ne manquent malgè tout pas de pertinence et introduisent plusieurs nouveaux concepts, inspirées de pratiques universellement mises en œuvre. Accéder à ce document sonore et à son script en cliquant sur l'onglet Emissions (radio) et synthèse du 2ème menu Radio mémo.
Mise à jour des ressources de géophysiques avec 4 cours et 3 documents en magnétotellurique.
La géophysique démultiplie nos capacités de recherche car elle permet d’aller là où les mesures physiques directes ne sont pas possibles. Elle trouve aujourd’hui des champs d’application très attractifs avec la recherche effrénée de matière premières et les besoins toujours croissants de l'humanité, notamment pour les profondeurs sous-marines dont on dit qu'elles sont encore moins connues que l'espace.
Ces ressources s'ajoutent à celles déjà existantes dans le cursus de master en géophysique et sont accessibles en cliquant sur Etudes Supérieures puis Master de géophysique.
Import ou Export, c'est la question pour préserver plus d'hydrocarbure pour le futur. Inverser et équilibrer les flux d’échanges commerciaux devraient figurer au premier rang des préoccupations de tous. Les exportations sont à la base de la production de richesse d’un pays et sans chercher la prédation ou la spéculation, le juste équilibre des échanges et les véritables productions de richesse en cohérence et en saine compétition sont les meilleures voies de développement durable et avantageux pour tous.
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Parcourez dans l’annuaire des exportateurs algériens les capacités et les coordonnées d’entreprises pouvant coopérer et commercer avec des avantages comparatifs de coût et de qualité nombreux. Le portail algérien des exportateurs fait le point des opportunités. Notez sur ce site la dernière offre du gouvernement des pays-bas qui offre une contribution pouvant aller jusqu’à 1,5 millions d’euro pour tout projet de joint-venture entre les entrepreneurs des deux pays. |
Parcourez aussi les riches approches des étudiants de l’école polytechnique de Montréal dans les expériences de polymonde en Chine, en Espagne, en République tchèque et en Pologne, au Danemark et au Pays bas, en Inde, au Japon et en France. Ces initiatives évènements mobilisent les plus hautes autorités et élèvent la prospection économique au rang de pionnier du nouveau monde qui restent tant à comprendre. Le lien entre l'industrie et l'université est crucial et sur ce sujet, le premier ministre du Québec a déclaré que « ces ingénieurs de demain se font les ambassadeurs du savoir-faire québécois et qu’ils ouvrent ainsi leur carrière sur tous les marchés .. car forts des expériences acquises, ils pourront en effet guider nos entreprises afin qu’elles profitent de l’expansion des échanges commerciaux avec les anciens marchés communistes." Dont acte, pour tous.
Vous pouvez trouvez l'ensemble des ressources mises en ligne en cliquant sur l'onglet Veille technologique, entrepreneuriat et prospection.
Le nombre de diplômés est trop importants pour assurer à chacun un poste de travail. Entreprendre seul après ses études est une solution idéale que nombre de pays encouragent de toutes leurs forces. Comment y croire et réussir ?
«En matière de start-up, il faut viser global tout de suite », estime Hervé Lebret, responsable des Innogrants, outil de soutien aux entrepreneurs académiques. Il estime les suisses et les européens trop frileux en matière de création de jeunes pousses.
Le contexte économique actuel rend-t-il la recherche de fonds plus difficile?
Je vais peut-être vous surprendre mais je trouve que ça n’a pas changé. C’est difficile de trouver de l’argent, comme toujours, mais pas impossible. Cela dépend des domaines, mais je dirais même qu’il y a plus d’argent aujourd’hui qu’il y a quinze ans. Des entreprises comme Scala ou Aleva, issues de l’Ecole, ont levé d’importantes sommes de la part des Capital risqueurs ces dernières années, tout comme Aïmago, Lemoptix ou Attolight qui ont obtenu 1-2 millions de la part de Business Angels.
Y a-t-il des domaines plus porteurs que d’autres ?
C’est plus facile si le savoir-faire est présent localement, comme c’est le cas ici dans le domaine des biomeds ou des nanotechnologies.
Les cleantechs commencent à perdre l’engouement qui prévalait jusqu’à dernièrement. Mais je suis convaincu que les idées peuvent sortir de n’importe où et obtenir un bon écho, pour autant qu’elles soient bien relayées. Il ne faut d’ailleurs pas trop se fier aux besoins actuels du marché. Ils ne suffisent pas à prédire quelle start-up va être la prochaine pépite. Les domaines porteurs ont des besoins, mais pas de solution immédiate et lorsque cette dernière arrive sur le marché les premiers ont souvent évolué dans une autre direction.
Comment s’assurer un bon départ avec une start-up ?
Une start-up sur dix parvient à être financée par du capital risque comme Aleva ou Biocartis et atteint la taille de 50 à 100 employés. Puis parmi celles-ci, un dixième aura un gros succès sur dix ans, comme Endoart ou Swissquote qui dépasse les 400 emplois. L’ambition ne devrait pas être la survie. Au contraire, ces jeunes poussent durent parfois trop longtemps. Quelque 90% sont encore là après 5 ans, mais elles n’ont pas grandi. Aux Etats-Unis, il y a davantage de renouvellement : 50% seulement sont encore là passé le même laps de temps. Le problème c’est le conservatisme européen qui n’ose pas la croissance rapide. Je pense qu’il faut rendre les étudiants sensibles à ça très tôt, déjà au gymnase. Etre entrepreneur ne s’improvise pas. Il faut donner aux enfants, aux jeunes, l’envie d’explorer et ne pas stigmatiser l’échec comme c’est encore le cas actuellement en Suisse. Nous allons d’ailleurs projeter bientôt un documentaire passionnant – Something Ventured - au sujet des étudiants curieux de l’entrepreneuriat.
Comment faire sa place ?
Il est relativement facile, avec une bonne idée, de trouver jusqu’à 500'000 frs de fonds publics ou d’associations philanthropiques, ce qui permet de survivre un ou deux ans. Ces contacts permettent aussi un marketing gratuit qui peut permettre de trouver de premiers business angels et un premier million. Les limites viennent plus de la trop grande humilité, de l’autolimitation du jeune entrepreneur. Pour réussir, il faut être vendeur et extraverti ou s’allier avec quelqu’un d’autre qui l’est. Le réseau est une aide essentielle pour se positionner.
Quelle est l’importance des start-up dans le tissu économique suisse ?
Il y a environ 40 start-up créées chaque année dans le canton de Vaud, dont 15 dans le domaine académique. Elles jouent un rôle considérable pour l’avenir du canton, de la Suisse et même de l’Europe. Logitech ou Swissquote, par exemple, ont créé beaucoup d’emplois. Cependant, les start-up suisses de manière générale ont de la peine à dépasser les 5 à 6 postes de travail. Le plus grand problème est bien connu : c’est la frilosité des entrepreneurs, qui ont du mal à les faire croître. Ils préfèrent y aller par étape. Aux Etats-Unis, la politique du «tout ou rien» prévaut et amène à un taux de réussite plus important. Facebook, qui annonce son entrée en bourse, en est déjà à 3.000 employés. Les personnes qui ont de bonnes idées foncent et n’ont pas peur de l’échec. Ils visent d’emblée des marchés globaux. La première erreur est de penser en premier lieu au marché suisse, alors qu’il faudrait directement viser le marché mondial. Adopter une vision globale et ne pas avoir peur de paraître arrogant est essentiel. Entreprendre est peut-être le mot clé le plus important aujourd'hui et partout.